Attention les revoilà...C’est à notre tour

mercredi 6 février 2019
par  SUD Éduc

Un rapport de Samantha Cazebonne....Sur le combien ça coûte ?
Et le combien ça rapporte et à qui ?
La France à fric voit la part du gâteau se réduire, il va falloir écrémer pour pouvoir continuer à entretenir un entre soi auquel, je vous rassure, 95% d’entre nous ne sommes pas associés.
Ah, tiens, il n’y a pas de rapport...

Donc, voici juste un passage, le reste est payant. Si certain-es sont abonnés, et qu’ils peuvent récupérer les restes ? je rigooole !!!
Désolé donc, je veux bien transmettre mais pas payer pour un contenu qui rien que dans le titre laisse augurer la suppression des contrats de résidents avec priorité aux collègues titulaires employés en local, une « souplesse » qui n’est qu’un terme pudique pour désigner la servitude et une vie familiale qui dépendra du bon vouloir d’un conseil d’établissement où siégeront en nombre les parents payeurs, leurs enfants, l’administration du haut du bas et du milieu et éventuellement quelques tâcherons (mais c’est nous !). Quoi de neuf là dedans si ce n’est de l’exploitation, de la soumission, une dégradation de nos conditions de travail, une non prise en compte de nos situations du point de vue sanitaire, sécuritaire ou familial ? Quand on voit la place que le gouvernement actuel donne à « l’humain » (à moins qu’ils ne considèrent que les gilets jaunes soient des sous-hommes) il y a de quoi s’inquiéter.

Source (le figaro)
INFOGRAPHIE - Coût des professeurs, fonctionnement rigide… Un rapport préconise de réformer le système en profondeur.

D’ici à avril, Emmanuel Macron devrait annoncer une réforme des lycées français de l’étranger, qui sont aujourd’hui à bout de souffle, notamment pour des raisons budgétaires. Il a pour objectif de doubler le nombre d’enfants scolarisés dans le réseau à l’horizon 2030. Il s’appuiera notamment sur l’épais rapport remis mardi au gouvernement par la députée LaREM, Samantha Cazebonne.

Cette mission, menée par cette ancienne chef d’établissement au Maroc et en Espagne, propose de repenser un fonctionnement vieillot. Si les parents contribuent à hauteur de 80 % aux frais des établissements, ils continuent à y être considérés comme quantité négligeable. Et n’occupent que 2 sièges sur 28 au sein de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (l’AEFE) !

Outil d’influence diplomatique, le réseau des 492 lycées français de l’étranger connaît certes encore une hausse annuelle de ses effectifs de 2 %. Les excellents résultats au bac attirent un tiers de Français expatriés et deux tiers d’étrangers.