Viols de guerre : Le cri de résistance des survivantes
jeudi 10 octobre 2019
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Longtemps considéré comme inévitable, le viol dans les conflits armés n’est pas un dommage collatéral, il est une arme de destruction massive. Aux quatre coins du monde, les victimes s’organisent.
« Violer une femme, c’est la tuer en la laissant respirer », déclare la survivante congolaise Tatiana Mukanire. Du mythe du rapt des Sabines par les Romains aux « femmes de réconfort » de l’armée japonaise, guerre et violences sexuelles se confondent depuis des siècles.